La mélancolie du clair et de l'obscur

 

          6ème sens magnétisme terrestre & noétique 

  

  

 

 

L'être humain hologramme de l'hunivers

 

 

 

 

 

Walk-in veut dire littérallement "marcher dedans" ou dans un nouveau corps.

 

 

Notre réalité serait comparable à un hologramme. Un hologramme qui ne serait pas seulement fait de lumière comme les hologrammes de la technologie humaine, mais un hologramme fait de matière...

 

 Quand des personnes humaines, écoute cette histoire.  En quelques mots, 1 ans de cortisone bébé a l'âge de 10 mois. Chute 2, 50 m a la renverses, traumatisme crânien vers 8 ans. Echec scolaire niveau CM1, fin d'étude primaire. Puis 1 ans de travail 9 heures par jours a temps complet a 14 ans et 4 mois, reprise pré apprentissage, puis CAP. Ensuite pris au service militaire RA semi disciplinaire 79/80 ( vaccination 3 jours de lit ) comme si j'avais besoin de ça. 

La réponse: les criminels ne sont pas loin. 

 

 

Et le reste....pour rester polie.  "Passion Unchosen" 

 

 

À bientôt 

 

 

Pascal-V

 

 

PS: Remerciements a voir ou revoir en page d'acceuil sur la partie positive, qui ma aider sur 20 ans. En tant que solitaire dans ma vie depuis 40 ans.

 

 

 

 

 

 

La fleur de vie dans la tables d'Emeraudes de Thot

 

" Profondément aux coeur de la terre, se trouve la fleur de vie qui lie tout dans sa forme.

Car sache que la terre vit est comme ton esprit et jaillit à travers la terre, comme le tient à travers ta forme."

Nous pouvons aisément concevoir que chaque petit cercle de la fleur de la vie, fonctionne en relation avec la totalité de la fleur et reproduit à l'intérieur de lui même le schéma de l'ensemble, de même a l'intérieur de cette petite fleur, les petits cercles le font aussi. Selon un processus holographique.

Cette planche (la fleur de la vie) peut vous aider à passer d'un plan de l'hologramme universelle à un autre. Elle constitue une porte inter dimensionnelle à la connaissance intérieur de vôtre structure.

Elle fournira une communication avec le supranormal et une vision des schéma idéaux du plan des archétypes.

Elle active la compassion et guérit les blessures de l'âme. Cette planche est activée ( Mandala ) mais vous pouvez l'amplifier avec une bougie allumée  dans la pièce...

" L'ancien secret de la fleur de vie, Drunvalo Melchizedeck, Editions-Ariane.

"The Emerald Table of Tho, traduction , Dorial, sources Book Publisching Compagny.

 

 

 

Jiddu Krishnamurti. "Les dominants ont toujours utilisé l'imaginaire des dominés à leur profit."     

 

"Nos vertus et nos défauts sont inséparables, comme la force et le sujet. Quand ils sont séparés, l'Homme n'est plus rien." ("Our virtues and our failings are inseparable, like force and matter. When they separate, man is no more.")

Nicolas Tesla

 

 

 

Ce que le corps humain peut faire seul est sûrement au delà de notre entendement. Peut-être faudrait-il sortir de nos limites un peu trop matérialistes et bornées. Bien des choses nous dépassent, nous refusons bien des faits sous prétexte que nous ne les touchons pas du doigt... Et comme le professeur Feynman l'affirme dans ses cours (1964 ?) qui font encore référence dans nos facultés de physique en ce qui concerne l'électromagnétisme : "Mais que se passe-t-il vraiment lorsque nous étudions "l'action directe" d'un morceau de matière en contact avec un autre ? Nous découvrons que ce n'est pas un morceau en contact avec un autre : ils sont légèrement séparés et il y a des forces électrique agissant à une échelle minuscule". Que voulait-il dire ? Que le contact n'existe pas, que nous ne touchons rien du doigt mais que ce sont bien des champs électriques qui se rencontrent.

 

 

L'esprit de Genève
L'esprit de Genève

 

Résumé :

 

"Rien que dans ce petit coin du monde, il y a quatre principes, la raison, l'instinct, la génération, la végétation, qui sont semblables les uns aux autres et sont les causes d'effets semblables. Combien d'autres principes ne pourrions-nous pas naturellement supposer dans l'immense étendue et l'immense variété de l'univers, si nous étions capables de voyager de planète en planète et de système en système, afin d'examiner chaque partie de ce vaste agencement ? L'un quelconque des quatre principes mentionnés ci-dessus (et de cent autres qui s'offrent à notre conjecture) peut nous fournir une théorie par laquelle juger de l'origine du monde ; et c'est une preuve palpable et insigne de partialité que limiter entièrement notre vue au principe par lequel nos propres esprits opèrent. Si ce principe était plus intelligible pour cela, une telle partialité pourrait dans une certaine mesure s'excuser ; mais la raison, dans son agencement et sa structure interne, nous est en réalité aussi peu connue que l'instinct ou la végétation". David HUME

 

 

 

hidden no longer

Indien d'amérique

Leur histoire aurait commencé quelques 40.000 ans avant l'arrivée de Christophe Colomb (en 1492). C'est à cette époque que venant d'Asie, ils se seraient installés en Amérique.
Un pont de glace relie alors la Sibérie à l'Alaska. 
Tout en poursuivant des troupeaux de mammouths, des groupes de chasseurs nomades sont passés sans le savoir de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du Nord au Sud.

Une deuxième vague venant de Sibérie occupent les déserts glacés de l'Arctique, il y a 3000 ans. Ce sont les Inuits

Les peuples indiens s'adaptent aux milieux naturels les plus difficiles.
Des grandes plaines de l'Ouest en passant par l'immense forêt amazonienne jusqu'à la terre de feu, ils créent des civilisations extrêmement différentes.
Avant l'arrivée des Blancs, on estime que 7 à 8 millions d'indiens occupaient l'Amérique du Nord. 

 

l'art du  Nagual

 

 

L’arc-en-ciel est entièrement dans notre tête !  Leonard Brand et Ernest Schwab  Quand un arbre s’abat en forêt sans que nul ne soit là pour l’entendre tomber, fait-il du bruit Question bizarre, en apparence, mais dont la réponse peut donner lieu à de fascinantes observations sur la nature du son, de la couleur, du goût, de la beauté, de l’amour même, et du génie inventif du Créateur.  Quand l’arbre tombe, ses branches écartent l’air et frappent d’autres arbres avant de heurter le sol. Toutes ces collisions entre objets ou d’objets contre l’air engendrent des trains d’ondes qui se déplacent dans l’atmosphère. Ces vibrations de molécules, ou ondes sonores, en déplacement dans l’air sont soumises à des lois physiques qu’on peut mesurer avec précision. La taille et la nature des objets entrant en collision, ainsi que la force de ces chocs, déterminent la forme et la complexité des ondes sonores qui se déplacent dans l’air à vitesse constante, sous le contrôle précis des lois de la physique. Il semble donc que le son soit totalement contrôlé par ces lois. C’est pourtant une conclusion prématurée, parce que nous n’avons pris en compte, à ce stade, que les vibrations des molécules d’air. Comment celles-ci se traduisent-elles en son  L’ouïe  L’arbre tombe. Un bûcheron est tout proche. Les ondes sonores (molécules d’air en vibration) font vibrer son tympan, vibration transmise à son oreille interne, où une longue rangée de récepteurs y répond. Les récepteurs situés à une extrémité de la rangée réagissent aux vibrations sur ondes longues, que nous percevons sous forme de son grave. À l’autre extrémité se trouvent les récepteurs activés par les vibrations à ondes courtes, que les humains perçoivent comme des aigus. Entre les deux, il y a de nombreux récepteurs, conçus chacun pour répondre à une gamme spécifique de longueurs d’onde intermédiaires. Chaque récepteur est relié au cerveau par un nerf porteur de signaux, que le cerveau analyse, nous permettant de percevoir les sons.  Comment décrire le signal en mouvement le long de chacun des nerfs reliant au cerveau les récepteurs de l’oreille interne Est-ce du son que transporte le nerf Non, chaque nerf ne fait que transmettre une impulsion, ou signal, électrique. Les signaux électriques émis par les récepteurs d’ondes longues sont physiologiquement semblables à ceux émis par les récepteurs d’ondes courtes. Chaque récepteur de l’oreille interne dispose de sa propre liaison neurale au cerveau. Ce dernier ne peut distinguer la signification (ondes courtes ou longues) du signal reçu qu’en fonction du nerf qui le transmet. Pour l’instant, il n’y a pas encore de son — rien que des vibrations des molécules de l’air et le mouvement d’impulsions électriques le long des nerfs.  Comme la connexion oreille-cerveau n’est faite que d’impulsions électriques, l’origine du son perçu quand tombe l’arbre doit donc se situer quelque part dans le cerveau. Aucun son ne se déplace le long des nerfs, seulement de l’électricité. On ne sait comment procède le cerveau, sinon qu’il reçoit les pulsations d’électricité en provenance de nombreux nerfs et les traduit en perception consciente de ce que nous appelons « son ». Ce que nous percevons comme un son n’est qu’une sensation générée par le cerveau. Les lois naturelles physicochimiques régissent les vibrations des molécules d’air ainsi que leurs interactions, pour rendre la vie possible. Or, la vie est bien plus que ces lois : elle résulte d’une organisation hautement complexe qui n’est pas définie par ces lois, tout comme la forme de votre voiture n’est pas déterminée par les lois de la nature mais a dû être inventée. Seul le cerveau a la capacité de produire la sensation du son.  Pour démontrer pourquoi le son ne peut être le produit de ces seules lois physiques, comparons les connexions neurales issues de l’oreille à un clavier d’ordinateur. Quand on appuie sur la touche de la lettre M ou G, un signal électrique est envoyé au microprocesseur de l’ordinateur, qui le traite afin de générer le bon caractère sur l’écran. Pourtant, les lettres M ou G, telles qu’elles s’affichent à l’écran, sont créées à l’intérieur de l’ordinateur et sont contrôlées par les connexions entre ce dernier et le clavier. L’activité électrique qui se produit dans l’ordinateur ou dans le cerveau s’arrêterait en cas d’absence des lois de la physique, mais la forme des caractères, ainsi que les touches auxquelles ils sont liés ne découlent pas d’une loi naturelle —elles ont été conçues par des ingénieurs. C’est ainsi qu’un informaticien peut aisément modifier les connexions, de manière à ce qu’appuyer sur la touche M entraîne l’apparition d’un G sur l’écran.  Similairement, les lois de la physique ne peuvent déterminer quel est le son associé à tel ou tel nerf ; ce choix tient à une connexion neurale arbitraire établie dans l’oreille. Si nous pouvions pénétrer le cerveau et débrancher le câble neural reliant l’oreille au cerveau, le retourner et le rebrancher à l’envers, nous entendrions les vibrations d’ondes longues comme des aigus car ce serait la partie du cerveau qui engendre la sensation de son aigu qui serait stimulée suite à notre modification du « câblage ». Un piccolo semblerait avoir le son d’un tuba et un tuba nous paraîtrait un piccolo.  La vue  Passons maintenant des oreilles aux yeux. Les rayons lumineux du soleil rebondissent sur les objets et certains atteignent les récepteurs photosensibles situés fond de l’œil, sur la rétine. Les feuilles des arbres absorbent une grande partie de la lumière qui les frappe, mais renvoient une lumière verte, dont les rayons frappent notre rétine, et c’est ainsi que nous voyons que les feuilles sont vertes. Une robe rouge renvoie les rayons rouges, et nos yeux se trouvent éblouis par la beauté de cette couleur.  Quand un photorécepteur est activé par un rayon lumineux, il envoie un message au cerveau, sous forme d’impulsion électrique, du même genre que celles qu’envoie l’oreille en réaction aux vibrations qu’elle reçoit. Donc, si les mêmes impulsions électriques sont porteuses d’informations relatives aux ondes sonores et aux rayons lumineux, comment se fait-il que notre cerveau ne soit pas en proie à la confusion Il ne l’est pas pour la même raison qui fait qu’un ordinateur connaît la différence entre un signal émis par la touche M et un signal émis par la touche G — les fils émanant de ces deux touches vont vers deux points différents de l’ordinateur, tout comme les nerfs partant de l’œil aboutissent à un lieu précis du cerveau, chaque nerf étant porteur d’un signal visuel différent. Toutes les informations portées par ces nerfs parviennent au cerveau sous forme d’impulsions électriques, que le cerveau interprète comme des images visuelles.  Mais puisque aussi bien les rayons lumineux à onde longue que ceux à ondes courtes communiquent avec le cerveau grâce au même type de signaux électriques, il faut au cerveau, pour les interpréter, des instructions qui lui sont inhérentes. Il est donc programmé pour interpréter les signaux électriques émis par chaque partie du nerf optique et produire ainsi une bonne image visuelle. En d’autres termes, notre perception des couleurs rouge ou verte est le résultat d’un processus de traitement de l’information qui n’est en rien défini par les lois de la physique : il a dû être inventé par un concepteur intelligent.  Vous pouvez objecter, en mentionnant que les longueurs d’onde de la lumière, productrices de différentes couleurs, sont bien comprises des physiciens et que l’on sait parfaitement prévoir à laquelle correspondra la perception de telle ou telle couleur spécifique. C’est bien exact, mais en partie seulement. Le spectre des longueurs d’onde de lumière visibles est le produit de lois physiques précises, et la façon dont ces longueurs d’onde sont réfléchies de manière sélective par différentes substances est une caractéristique des plus constantes de la nature. Il est tout aussi vrai que nous pouvons (généralement) prévoir quelle longueur d’onde de lumière nous percevrons comme verte. Le fait que la plupart d’entre nous voient du vert en réponse à la même longueur d’onde ne fait que confirmer que le cerveau est programmé avec une grande fiabilité, et que nous pouvons compter sur lui pour voir du vert de la même façon, tout le temps. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde : certains sont daltoniens et ne peuvent distinguer le rouge du vert. Alors, quand leurs yeux sont stimulés par la lumière, les lois de la physique sont-elles modifiées Non, bien sûr. La longueur d’onde de la lumière réfléchie par les feuilles des arbres reste la même. La différence tient à l’interprétation effectuée dans le cerveau et le système optique de ces gens ; elle est due à des instructions défectueuses dans l’interprétation des longueurs d’onde rouge et verte.  Heureusement, le daltonisme n’est pas répandu et n’affecte, dans la majorité des cas, que la distinction entre vert et rouge. Cela indique que le centre cérébral d’interprétation de la lumière est en général d’une stabilité et d’une fiabilité extrêmes, bien qu’il semble toujours dépendre de l’organisation du cerveau. En d’autres termes, les couleurs que nous percevons ne sont pas contrôlées par les lois de la nature, mais par la façon dont le Créateur a agencé notre cerveau. Et elles n’existent, telles que nous les percevons, que chez les espèces animales dont le cerveau engendre ce type de perception. C’est ainsi que l’arc-en-ciel est entièrement dans notre tête ! Si l’on inventait un détecteur de lumière, cet appareil ne pourrait mesurer que la longueur d’onde de la lumière, sans être le moins du monde capable de savoir quelles couleurs les humains perçoivent quand leur cerveau interprète cette longueur d’onde.  Reprenons l’expérience imaginaire déjà décrite, où l’on débrancherait le nerf auditif afin de l’inverser. Mais cette fois-ci, imaginons que l’on puisse débrancher deux nerfs, l’un venant de l’oreille et l’autre de l’œil, afin de les intervertir. Dès lors, le processeur de son du cerveau recevrait des signaux électriques émis par l’œil, et le processeur visuel des signaux provenant de l’oreille. Que verrions-nous, qu’entendrions-nous Nous « entendrions de la lumière » et nous « verrions du son » ! Quelle confusion serait la nôtre, puisque le processeur visuel ne dispose pas du bon logiciel pour interpréter l’information sonore. Nous verrions quand même certaines formes générées par les signaux sonores. Et de l’autre côté, nous entendrions des sons bien bizarres !  Le sentiment amoureux  Repensez à cet instant mémorable où vous vous êtes trouvé main dans la main avec quelqu’un que vous aimiez, vous imprégnant des sons et des couleurs d’un merveilleux paysage. L’amour et le plaisir d’être ensemble alors ressentis n’ont-ils pas rendu encore plus éclatants ces couleurs et ces sons Quelles lois de la nature contrôlent-elles ces sentiments et les expériences, les souvenirs et les pensées du cerveau qui ont engendré ces sentiments amoureux Le doux contact de la main ne fait que stimuler des récepteurs tactiles et qu’envoyer des signaux électriques à un endroit précis du cerveau, ce qui n’a rien de bien romantique.  Si l’on s’arrête là, on se contente de comprendre la physique et la chimie, mais ni l’amour ni la passion. L’expérience amoureuse ne peut se réduire à l’application des lois physicochimiques. Certes, les lois de la nature cimentent les molécules qui constituent notre corps, mais seul notre cerveau est capable de déchiffrer le sens du contact particulier de la main de l’être aimé, et d’engendrer un sentiment unique, différent de celui qu’aurait produit tout autre contact. L’amitié et l’amour sont des structures relationnelles d’une grande beauté reposant sur un système d’analyse des informations inventé par le Créateur et installé dans notre cerveau, comme les centres cérébraux qui contrôlent notre perception des sons et des couleurs.  Nous croyons que l’amour existe parce que notre Créateur nous aime et a voulu que nous vivions des relations dépassant de loin celles de la physique et de la chimie, des relations qui nous apportent le genre de joie que seul un Dieu personnel sait comprendre et partager avec nous pour illuminer notre vie. L’amour, tout comme l’arc-en-ciel, est entièrement dans notre tête !  Le génie de notre monde sensoriel  L’intégralité de notre monde sensoriel, fait de sons, d’images, de couleurs et d’odeurs (l’odorat relève du même concept), ainsi que la magie de l’amour sont le produit d’informations traitées par le cerveau, et non de lois régissant les ondes sonores ou lumineuses. La prochaine fois que vous allez au concert, ou que vous vous asseyez en lisière d’une forêt, écoutez le chœur des oiseaux, observez les variations de couleur du coucher de soleil et pensez à la source de tous ces signaux sensoriels qui nous captivent. Les divers instruments de l’orchestre et les différents types de chant d’oiseau font chacun vibrer l’air à leur manière propre et unique, et le coucher de soleil réfléchit des rayons lumineux aux longueurs d’onde variées. C’est de la physique, fascinante en soi, mais qui ne suffit pas à produire une symphonie ou un coucher de soleil génial ! Les sons captivants de la symphonie ou les couleurs enivrantes du coucher de soleil ne sont produits que par notre cerveau. Ce sont les cadeaux que le Créateur nous a faits grâce aux instructions et aux connexions qu’il a programmées dans notre cerveau et auxquelles ce dernier fait appel pour se saisir de vibrations de l’air d’une froide précision et les traduire en perceptions d’une exquise beauté.  Quand un arbre tombe dans la forêt et que nul n’est présent pour l’entendre tomber, fait-il du bruit Non. Sa chute fait vibrer l’air, mais le bruit, le son, n’existe que dans un cerveau.  Que conclure de tout cela  Comment de simples créatures sont-elles parvenues à disposer dans leur tête de tout cet équipement générateur de sons, d’images, d’odeurs et d’amour Voilà plus de cent ans que la science l’explique comme étant le résultat de mutations et de la sélection naturelle — processus impersonnels de la nature. Dans cet article, nous avons suggéré une tout autre interprétation, qui offre des perspectives fascinantes sur le génie inventif du Créateur qui les a produits. Comment pouvons-nous avoir la certitude que nous voyons là le Créateur à l’œuvre En fait, nous ne pouvons le prouver, tout comme nul ne peut prouver que c’est faux, mais nous croyons faire là un choix philosophique parfaitement raisonnable.  La science a beaucoup à apporter à la compréhension du mode de fonctionnement de notre cerveau ainsi qu’à celle des modalités de changement des organismes. Mais s’il y a abondance de preuves de la microévolution et de l’apparition de nouvelles espèces, les preuves convaincantes de l’existence d’un mécanisme génétique susceptible de produire de nouveaux systèmes d’organes ou de transformer un type basique d’animal en un autre brillent, elles, par leur absence*. Nous ne pouvons prouver que le cerveau ne serait pas devenu ce qu’il est sans un concepteur intelligent, mais il échoit à la science naturaliste la lourde tâche de nous convaincre qu’il a pu évoluer ainsi. Or, il manque au discours scientifique de la plus haute qualité la preuve requise pour effacer chez nombre d’entre nous le sentiment que les merveilles du cerveau humain (en ne prenant que cet exemple) ne seraient jamais apparues sans l’intervention d’un concepteur plein de sagesse qui comprend et a inventé cet organe sophistiqué aux merveilleuses capacités, qui fait nos délices et rend belle la vie.  Dans la conception scientifique moderne, les lois impersonnelles de la chimie et de la physique constituent l’ultime réalité. Nous croyons, nous, que Dieu existe et que, dans son univers, les rapports personnels sont importants. Il est l’inventeur des lois de la nature, il en est le maître et s’en sert constamment pour diriger l’univers. Mais elles ne sont pas l’ultime motif de son œuvre créatrice, ni sa plus précieuse création. Pour Dieu, la capacité qu’ont des amis de partager leur appréciation des merveilles esthétiques de l’univers qu’il a créé, comptent bien plus que les lois de la nature. Celles-ci ne sont que ses outils, utilisés pour bâtir un univers servant de substrat à un domaine bien plus important, celui des êtres vivants et pensants qui peuvent vivre des relations entre eux et avec Dieu, et répondre à son amour.  Nous ne pourrons jamais vraiment comprendre Dieu tant que nous n’aurons pas compris et accepté le fait qu’il est une personne pour qui les lois de la nature ne sont que le moyen de soutenir son domaine prioritaire : celui des relations pleines d’amour entre des êtres pouvant nouer des liens de confiance parce qu’ils ont librement choisi de le faire.  Leonard Brand (doctorat de l’université Cornell) enseigne la biologie et la paléontologie à l’université de Loma Linda (Californie), dont il dirige le département des Sciences de la Terre et des Sciences biologiques. Courriel : lbrand@llu.edu. Ernest Schwab (doctorat de l’université de Loma Linda) enseigne l’anatomie et la physiologie à l’école des professions paramédicales de l’université de Loma Linda. Email : eschwab@llu.edu. Cet article reprend sous forme condensée un essai publié par ces auteurs dans Origins 58 (2005), p. 45-56. 

 

 

La mutation de la conscience

 

Carlos Suarès. (…) Pouvez-vous, en une phrase, me donner l’essentiel de ce que vous vous proposez de faire ?

Krishnamurti : Déconditionner la totalité de la conscience.[1]

Carlos Suarès : Vous voulez dire que vous demandez à chacun de déconditionner l’absolue totalité de sa propre conscience ? Permettez-moi de vous dire que ce qui déconcerte le plus, dans votre enseignement, c’est votre insistante affirmation que ce déconditionnement total de la conscience n’a besoin d’aucun temps.

Krishnamurti : Si c’était un processus évolutif, je ne l’appellerais pas mutation. Une mutation est un changement d’état brusque.[2]

La mutation psychologique n’est pas ce que vous croyez

Carlos Suarès : Je n’imagine pas un « mutant », c’est-à-dire un homme changeant d’état de conscience, qui n’emporterait pas avec lui la résultante de tout le passé. L’homme modifie le milieu et le milieu le modifie...

Krishnamurti : Non : l’homme modifie le milieu et le milieu modifie telle partie de l’homme qui est branchée sur la modification du milieu, non l’homme tout entier, dans son extrême profondeur. Aucune pression extérieure ne peut faire cela : elle ne modifie que des parties superficielles de la conscience. Aucune analyse psychologique ne peut non plus provoquer la mutation car toute analyse se situe dans le champ de la durée. Et aucune expérience ne peut la provoquer, quelque exaltée et« spirituelle » qu’elle soit. Au contraire, plus elle apparaît comme une révélation, plus elle conditionne. Dans les deux premiers cas - modification psychologique produite par l’analyse ou introspection, et modification produite par une pression extérieure - l’individu ne subit aucune transformation profonde : il n’est que modifié, façonné, réajusté, de manière à être adapté au social.

Dans le troisième cas, modification amenée par une expérience dite spirituelle, soit conforme à une foi organisée, soit toute personnelle, l’individu est projeté dans l’évasion que lui dicte l’autorité de quelque symbole.

Dans tous les cas il y a action d’une force contraignante prenant appui sur une morale sociale, c’est-à-dire un état de contradiction et de conflits. Toute société est contradictoire en soi. Toute société exige des efforts de la part de ceux qui la constituent. Or contradiction, conflit, effort, compétition sont des barrières qui empêchent toute mutation, car mutation veut dire liberté.

 

 

 

Curieux du ciel

 

 

 Végan c'est aussi être non canibaliste sur animeaux.

 

Attention lien blog très dur
http://www.vegetarisme.fr/jacques-derrida-politique-ethique-lanimalite/

La terre est un cerveau céleste

 

 

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Je suis au bout du rouleau

 

Heure à Paris :